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Construire peut être le fruit d'un travail long et acharné

Publié le par Stéphane GOMEZ

Madame la Maire,

Mesdames et Messieurs les Élus,

Mesdames, Messieurs,

 

Avant de commencer mon intervention, je souhaite préciser que je ne réagirai pas à l'intervention de M. BERTIN : quel intérêt a-t-il pour les Vaudaises et les Vaudais quand il les décrit comme des gens sales ou des trafiquants ?

 

Ce traditionnel DOB -Débat d'Orientation Budgétaire- a, comme tous les 6 ans dans toutes les Communes de France, une tournure assez particulière, car il est, pour tous les Exécutifs, moins l'occasion d'annoncer ce qui est proposé pour l'année qui vient (les élections et les programmes seront -normalement- juges de paix pour cela) que l'occasion de confirmer le projet de ville et surtout sa réalisation.

 

Le projet sera surtout et d'abord dans le BP – Budget Primitif, que nous voterons, lui, après mars 2020 et notre réélection. C'est la même chose que ce qu'avait fait l'ancien Exécutif en 2014 : si selon M. ZITTOUN qui était alors adjoint c'est le signe d'une difficulté à faire le budget, faut-il le considérer comme un aveu que ses amis et lui ne parvenaient pas en 2014 à faire le budget ?

 

L'intervention des élus Socialistes et Républicains se bornera donc à aller à l'essentiel, nous aurons par la suite l'occasion de revenir plus précisément lors du BP sur nos projets pour l'année 2020 et pour le nouveau mandat.

 

C'est donc plus sur le passé et le présent que je dois revenir pour commencer, et la meilleure situation financière dans laquelle se trouve aujourd'hui la Commune si on compare à ce qu'elle était il y a 6 ans, une gestion affirmée, consolidée, qui nous a permis d'agir sur ce mandat, qui nous permettra de continuer à investir sur le prochain mandat.

 

Après nous avoir dit que nous ne faisions rien, les oppositions, prises de panique probablement, nous ont dit que l'on faisait beaucoup et trop, dégradant la situation financière de la Ville. J'ai bien entendu les remarques sur l'état dans lequel nous laisserions les financements de la Ville, les remarques de ceux qui ne différencient pas un chiffre brut d'un chiffre net, mis en perspective selon que l'on ait 40 ou 50 000 habitants. J'ai bien entendu aussi les remarques de ceux qui ne font pas la différence entre un taux de réalisation du budget d'investissement à moins de 50% comme nous en avions hérité en 2014 à un taux de réalisation à 75-80% comme c'est devenu la norme depuis ces dernières années. Un taux de réalisation qui permet d'affirmer que notre bilan est moins maigre que certains veulent le prétendre ce soir : tout ce qu'on avait dit est fait ou lancé, et je ne reviendrai pas sur le projet de piscine olympique d'autres, le seul projet qu'ils ont lancé et qu'ils ne sont même pas parvenus à réaliser.

 

On nous a même dit dans l'opposition que nos chiffres -rappelons qu'ils subissent la double inspection du Contrôleur Général et du Contrôle de Légalité de la Préfecture-, que ces chiffres donc étaient faux. En fait, comme la réalité des chiffres ne leur convenait pas, il était plus simple de nier les chiffres eux-mêmes !

 

« La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l'attention sur ce qui ne va pas » disait Winston CHURCHILL. Nul doute que le vieux routier de la politique britannique faisait référence à l'esprit critique, toujours salutaire, et non pas à l'esprit de critique qui a trop souvent prévalu pour ne pas dire sévi sur les bancs des oppositions, qui de l'Extrême-Gauche à la Droite la plus radicale a su nouer d'étrangers alliances dans le seul but d'être contre, d'être « anti ».

 

Alors, une fois n'est pas coutume et dans l'espoir de sortir de cette mauvaise comédie qu'on nous impose ou plus sûrement pour parler aux Vaudaises et aux Vaudais qui nous écoutent ou nous lisent, en terme de référence sur la gestion financière de la Ville, j'irai, pour essayer de convaincre les sceptiques de profession ou amener des éléments quantifiables aux honnêtes gens, j'irai regarder du côté du classement d'une association. Cette association n'est pas vraiment dans ma vision économique et de gestion d'une collectivité, mais elle a l'intérêt d'une part d'avoir un référentiel qui s'inscrit dans les règles imposées par l'État en terme de contrôle de la masse salariale ou des budgets de fonctionnement, d'autre part de conserver les mêmes critères sur plusieurs années, ce qui permet des comparaisons.

 

Comparaison n'étant probablement pas raison, comparons quand même. À la fin du mandat précédent, lorsque M. YAHIAOUI était Adjoint aux Finances, quand M. GENIN était Maire – tous deux ici absents, comme c'est la norme des élus communistes et d'Extrême-Gauche sur ce mandat : avant de « reprendre la ville » comme ils l'affirment ou de critiquer l'absence supposée des agents, certains devraient déjà occuper les places que les électeurs leur ont confié…- quand ils étaient Maire et Adjoint aux Finances donc, quand M. GASMI était chargé de mission politique à la Ville et travaillait pour l'Exécutif d'alors, à la fin du mandant précédent, la Ville de Vaulx-en-Velin se classait, selon cette association dont le référentiel devrait plaire à M. FORCA, avant-dernière de la Communauté Urbaine, avec une note mythique de 2,5/20. À la fin de ce mandat, force est de constater que nous ne sommes pas encore à la moyenne, mais la note s'en approche, elle a plus que triplé, désormais 14 Communes de la Métropole sont derrière nous. Quel changement en 6 ans, du bonnet d'âne à une forte progression, qui nous approche de la moyenne malgré le passif dont nous avons hérité.

 

Il y a quelques années, on nous disait que nos chiffres étaient faux, insultant gravement la probité des agents ou de la Trésorerie Générale qui les publie. Maintenant on va sûrement nous dire que ce nouveau regard extérieur comme celui du Contrôleur Général ne vaut rien.

 

Décidément, il ne faut pas, dans l'opposition, manquer de talents jésuitiques pour ne pas reconnaître ce que tout le monde par ailleurs admet.

 

Comme je l'ai dit, cette association n'est pas dans ma philosophie économique, donc il est intéressant de reprendre dans le détail pourquoi cette forte hausse de la note et de la place attribuées.

 

Si on revient dans le détail, qu'est-ce qui nous est dit dans cette analyse, expliquant le triplement de la note : c'est que malgré la hausse de la population les dépenses de fonctionnement comme le recours à la dette évoluent en dessous de la moyenne, c'est que la pression fiscale baisse, c'est que la masse salariale reste élevée mais son poids relatif décroît de plus de 20% par rapport aux villes de même importance (la masse salariale a même baissé en 2019, peut-on préciser) et alors que la majorité a continué à créer des postes dans l'éducation ou la sécurité (pendant que, rappelons-le aussi, les 1ers des listes MoDem et LR présents ce soir votaient contre la création de postes de policiers municipaux).

 

Le seul point « noir » souligné dans l'analyse est la part élevée des dépenses d'investissement : c'est une critique qu'on peut prendre comme un compliment. Oui, nous avons investi, beaucoup investi, même si les oppositions ont passé la majorité du mandat à le nier ; nous avons beaucoup investi car il fallait non seulement tenir compte de la hausse de la population mais aussi du retard conséquent à rattraper : si les écoles avaient été faites avant 2014, nous n'aurions pas eu à les faire ou lancer sur ce mandat ; si les bibliothèques avaient eu le numérique avant 2014, nous n'aurions pas eu à le faire sur ce mandat ; si les équipements municipaux avaient été rendus adaptés aux personnes en situation de handicap avant 2014 (rappelons que la loi date de 2005…), nous n'aurions pas eu à le faire sur ce mandat. Et on pourrait continuer les exemples, sur chaque délégation.

 

Ce rattrapage des retards en investissement est d'autant plus notable, qu'il entraine des effets en dépenses de fonctionnement. Mais justement parce que nous avons anticipé cela dans nos investissements, nous avons été capables d'assumer la contractualisation imposée par l'État, avec des résultats validés par le Préfet. D'autres voulaient résister, dans la grande tradition de la République Populaire de Vaulx-en-Velin pour certains, de la jacquerie paysanne pour d'autres, et donc admettaient ne pas vouloir maîtriser les dépenses de fonctionnement. Être dans la fausse résistance, c'est être dans la posture stérile, c'est seulement se mettre dans la situation de perdre des financements, comme hier l'ancien Exécutif a perdu des financements de la Région pour le Centre Culturel Communal Charlie Chaplin ou du Département pour le Planétarium (certains s'en émeuvent ce soir, mais ils travaillaient pour cet Exécutif là, celui qui a perdu les co-financements), comme nous aurions perdu des financements de l'État si nous avions suivi les cris improductifs de ceux qui rejetaient la contractualisation sans vouloir en assumer les conséquences. Nous, nous avons agi, nous ne nous sommes pas laissés porter par le risque de dépassement de 2M€ des budgets de fonctionnement si on n'agissait pas sur la courbe naturelle des hausses ; nous avons agi, avec un résultat là encore reconnu par l'État.

 

Décidément, il ne faut pas, dans l'opposition, manquer de talents jésuitiques pour ne pas reconnaître ce que tout le monde par ailleurs admet.

 

Voilà le bilan, le constat, de 6 ans de maîtrise des finances de la Ville.

 

Mais nous sommes dans un débat d'orientation budgétaire, et même si l'échéance de mars prochain est celle qui validera notre projet de ville et fondera notre budget, nous devons déjà l'anticiper. On a trop vu en 2014 ce qui arrivait quand rien n'était anticipé, préparé par l'équipe sortie, tout le temps perdu. Aussi projetons-nous dans le prochain mandat.

 

2020 est la dernière année (pour l'instant de contractualisation), et il faut proposer un budget sans que ne soit garanti l'indexation des bases de la taxe d'habitation appelée à disparaître. L'exercice de prospective budgétaire s'avère donc encore plus complexe qu'il n'a pu l'être, mais nous avons démontré notre capacité à nous adapter pour agir sans dévier.

 

Sur ce mandat, nous avons contrôlé le niveau de dette et son encours ; comme nous l'avons toujours dit, nous avons dégagé des marges de financement sur le début du mandat pour les utiliser en fin de mandat quand, après la concertation et les études, nous étions au cœur des investissements. En 2020, si on travaille à un format constant, c'est à dire en tenant compte de tous les budgets annexes ou réintégrés, le niveau de dette est inférieur à ce qu'il fut en 2014. Tout cela est d'autant plus clair que nous l'avons dit et même écrit en début de mandat, quand nous avons présenté -là encore une 1ère sur notre commune- notre Programmation Pluriannuelle de Finances et d'Investissements, mais il faut croire que certains n'ont pas tout suivi des débats en Conseils, il est vrai que des records d'absentéisme ont été battus dans les rangs des oppositions…

 

Cet effort sur la dette nous permet donc déjà d'esquisser notre prochaine Programmation Pluriannuelle d'Investissement, dans la certitude d'avoir les moyens de nos engagements.

 

Parallèlement, la maîtrise des dépenses de fonctionnement doit permettre de dégager toujours plus d'épargne brute qui pourra être ainsi réutilisée en auto-financement pour les futurs investissements. Rappelons que l'épargne brute a plus que doublé sur ce mandat, entre la situation de 2014 laissée par l'ancien Exécutif et la situation actuelle, et sa croissance devrait donc continuer.

 

Cela permettra que le recours à l'emprunt ne représentera qu'un quart des dépenses d'investissement dans les prochaines années.

 

Des dépenses d'investissement qui doivent rester volontaristes, mais toujours avec le même soucis d'anticiper leur impact sur les budgets de fonctionnement afin de ne pas obérer ensuite les dépenses de fonctionnement et donc encore plus rigidifier le budget communal.

 

Cela permettra aussi de réduire le poids de la dette, en faisant baisser le nombre d'annuités nécessaires à son remboursement, nombre d'annuité maîtrisé sur ce mandat et avec une dette par habitant en baisse (il ne faut pas être très bon en mathématiques ou en économie si on compare une dette en chiffre brut pour 40 000 et 50 000 habitants, comme veulent le faire celles et ceux qui ne recherchent que les chiffres qui leur conviennent, confondant conclusion et analyse : ils ont déjà leur conclusion, il leur faut donc trouver l'analyse qui va avec).

 

Les investissements que nous proposons pour les années à venir sont conséquents, 85M€ sur 4 ans, 85M€ dans l'éducation et la formation, dans la culture, dans la tranquillité publique, dans la santé, dans les sports. 85M€ pour continuer à vivre ensemble, 85M€ pour renforcer le lien social qui nous uni, qui fait que nous faisons ville ensemble.

 

85M€ d'investissements en maintenant les taux fiscaux communaux (quand M. BERTIN dit que les impôts locaux ont augmenté puisque les bases ont augmenté, il veut faire croire que nous contrôlons les bases, ce qui n'est pas moral et digne quand on veut être maire ; la Ville ne contrôle que ses taux communaux, et ceux-là n'ont pas augmenté sur ce mandat).

 

85M€ d'investissements qui seront tenus comme nous avons tenus nos engagements sur ce mandat. Il y a ceux qui promettent beaucoup et dont le taux de réalisation n'est même pas à 50%, et il y a ceux qui promettent et qui tiennent leurs engagements, qui les réalisent.

 

Investissement élevé, hausse de l'épargne brute, réduction du poids de la dette et maintien des taux fiscaux communaux : tout cela est permis car parallèlement nous maintiendrons les dépenses de fonctionnement, en limitant leur hausse à 1% pour tenir compte des hausses des recettes de fonctionnement tout en intégrant les nouvelles dépenses induites par l'inflation ou les investissements.

 

Il fallait recréer les conditions pour rendre possibles nos engagements, nous l'avons fait. Notre 1er mandat a été celui de la parole tenue, le 2nd doit confirmer l'éthique de l'action publique, doit réconcilier les Vaudaises et les Vaudais avec la res publica, par la confiance qu'ils peuvent avoir que nous continuerons à dire ce que nous faisons, à tenir nos engagements, quand d'autres continuent à n'être que dans la posture personnelle et agressive.

 

Pour conclure, je soulignerai une nouvelle fois la qualité du document proposé, signe du travail. On est bien loin des 2 pages d'avant 2014, et si certains peuvent largement discourir ce soir sur ce que seraient nos chiffres, c'est justement parce que nous leur donnons clairement à voir à défaut que tous ne sachent les lire. Pour la qualité de ce travail, remercions bien sûr une fois encore les Services et les agents et leur capacité à appliquer avec sérieux et intelligence la commande politique qui a été la leur ces dernières années.

 

Une conclusion n'en serait pas une sans quelques citations. « Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel » disait Jean JAURÈS. Le réel, nous l'avons compris, c'est pourquoi nous avons pu agir, assainir la gestion de la Ville, pour aller vers l'idéal, investir pour contribuer à créer à la place qui est la nôtre une société plus juste, plus fraternelle. Il ne faut pas se contenter de rajouter « solidarité » au triptyque républicain sur les frontons, il faut la faire vivre, et loin des populismes et des postures, nous l'avons plus fait que bien d'autres.

 

« Construire peut être le fruit d'un travail long et acharné. Détruire peut être l'oeuvre d'une journée » résumait avec son talent Winston CHURCHILL. Durant ces 6 ans de mandat, nous avons eu l'honneur de longuement et patiemment construire, au service des Vaudaises et des Vaudais. À d'autres l'oeuvre de destruction, nous continuerons patiemment à construire.

 

 

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E
Tellement facile avec vous, on remet une pièce dans le jukebox et vous repartez ! Allez ciao avec vos nouveaux amis bleu Marine !
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S
Vous venez sur mon site, donc je vous confirme que je ne laisserai pas vos insultes de faible niveau être l'expression finale. La question d'ailleurs est pourquoi venir ainsi déverser votre haine (ou votre amertume de vos défaite de 2014) sur ma page: pour quelqu'un que vous exécrez, vous y mettez beaucoup d'énergie. Trouvez des activités utiles: avoir un programme, une tête de liste vaudaise.
E
Votre incompétence ne pourra pas vous aider devant nos concitoyens. Ce qui est pathétique est de vous moquer de tout le monde, mais pas de vos collègues socialistes. Vous vous êtes alliés avec la droite et l’extrême-droite, vous êtes un Valls low cost.
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S
Vous êtes de nouveau dans les jugements ou les attaques, votre tentative d'argumenter aura été aussi brève que ratée. Bref toujours rien d'intéressant mais utile pour publiquement démontrer ce que vous êtes au final...
E
Ça reste toujours mauvais, et vous avez une mauvaise note par canol. Ce qui est typique du socialisme est de s’accrocher à la droite et l’extrême-droite pour garder sa place au chaud. Vous allez être dans la même lignée que vos pathétiques résultats aux présidentielles, législatives et européennes ! Quelle déchéance !
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S
La note héritée de l'ultra gauche stérile était de 2.5, la note maintenant est de 8.5: chacun notera la progression s'il est honnête. Tout le reste, comme d'habitude n'est que vos jugements de valeur, c'est assez pathétique comme manière de fonctionner. Mais continuez ainsi publiquement, cette aigreur ne peut que nous aider devant nos concitoyens.
E
En plus de raconter n’importe quoi, vous avez la mémoire courte. En 2014, vous avez promis monts et merveilles. Votre bilan est mauvais, que ce soit en terme de sécurité (vous vous faites un plaisir de renvoyer la balle à tout le monde sans prendre vos responsabilités), ou envoyant la PM relever les identités des parents et des enfants dans une école. Votre gestion est mauvaise, tous les chiffres le montrent. CANOL le démontre. Mais comme vous êtes tellement arrogant, vous dites des bêtises. Les condamnations ne sont pas mensongères et pas pour avant 2014 (ah oui le malin plaisir de critiquer l’équipe précédente pour valoriser votre incompétence alors que vous essayez de faire alliance avec eux). Commencez à préparer vos cartons, parce que vous allez ramasser la branlee du siècle.
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S
Les chiffres de la Canol montre que notre note a plus que triplé, on n'est plus avant dernier comme en 2013! Et quelle promesse on n'aurait pas tenu? Vous êtes toujours dans l'incantatoire, le seul élément un peu concret (la note de la Canol) se retourne contre vous. Oui on critique le naufrage que fut le bilan du précédent mandat, avec un taux de réalisation de moins de 50% (chiffres trésorerie générale, celle qui certifie les chiffres au Compte Administratif), aucun équipement réalisé, une école fermé! C'est typique de l'ultra gauche stérile, dans la posture, jamais dans la réalisation.
E
Visiblement vous avez du mal avec le second degré que vous vous vantez tant, lorsqu’il s’agit de faire des références ! Je connais très bien votre bilan, vous aurez beau faire des pirouettes. Il est pathétique ! Vous nous avez promis la pluie et le beau temps en 2014, vous avez échoué ! Par contre parler des casseroles de vos collègues ou des condamnations de HG, vous esquivez.
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S
On n'a jamais promis la pluie ou le beau temps, par contre ce qu'on a promis on l'a fait (cf. taux de réalisation certifié par la trésorerie générale. Pour le reste, les condamnations qui sont essentiellement mensongères ne m'intéressent pas, les autres sont seulement du tribunal administratif dont plus de la moitié pour des décisions d'avant 2014 (et oui la justice est lente) mais il faut avoir l'honnêteté de le dire ou avoir lu le bilan pour avoir des éléments de fonds, vous multipliez les paroles creuses sans aucun élément concret, c'est stérile.